Ballbusting au collège Paris, un mercredi après-midi au 15 de la rue St Jacques, Institution pour jeunes filles BLANCHE DE CASTILLE. Il est 17 heures, la cour se vide peu a peu dans une envolée de jupes plissées et de chemisiers blancs. Il fait déjà chaud en cette journée de juin. Les internes se dirigent par petits groupes de 3 ou 4, les unes tenant leurs cahiers à la main, les autres le sac à dos négligemment posé sur l'épaule, découvrant parfois celle-ci et offrant à la douceur du soleil un carré de chair mordorée dont l'éclat est souligné par le blanc d'une fine bretelle de soutien gorge. Justine est accroupie sous l'unique arbre de la cour de récréation, elle offre ses fines jambes musclées à la douce morsure du soleil, sa jupe relevée sur le haut des cuisses elle chuchote à l'oreille de Sophie des secrets qui les font ensuite rire aux éclats, elles parlent des autres bien sur, des garçons. Oubliant dans la ferveur de leur discussion de soigner leur tenue un petit vent s'engouffre sous leurs jupes en fait voler les pans, offrant ainsi à la vue des petits triangles de coton blanc. De l'autre coté de la cour, derrière les rideaux de la loge des concierges, le petit louis, le filos de la gardienne, qui va allègrement sur ses 13 ans, regarde la scène. Il est fasciné par justine, il lui voue une admiration sans borne. Ses yeux sont fixés sur ce que le vent coquin lui laisse entrevoir des petites culottes des deux jeunes filles qui bavardent toujours à l'ombre du peuplier. Son sexe se durcit, il déglutit difficlement, sa main quitte le rebord de la fenêtre et glisse lentement le long de sa cuisse pour finir sa course entre son entrejambe qu' il entreprend vigoureusement, ses yeux se ferment, il garde en mémoire la délicieuse image de ces petites culottes d'un blanc ilmmaculé, son sexe devient chaud et humide, il rouvre les yeux, merde ! eles sont parties. Justine et Sophie se sont dirigées vers le gymnase, elles le traversent et entrent dans le vestiaire. Louis qui connait leurs habitudes, sort sur la pointe des pieds de la loge, referme doucement la porte derrière lui, tant pis se dit il, j'en ai trop envie, je prends le risque. Il traverse au galop la cour déserte Il reste quelques instants derrière la porte du gymnase l'oreille aux aguêts. Rien, aucun bruit,il penêtre dans la grande salle qui est déserte. Le murmure d'une conversation le guide jusqu'au vestiaire, il hésite encore, sa frustration est trop forte, il se glisse dans les vestiaires, le couloir est vide, sur un des bancs il y a les sacs de deux jeunes filles, leurs jupes et leurs chemisiers blancs. Louis s'approche il ne peut s'empécher de saisir l'un des chenimiers, de le porter à sa figure il hume avec extase ce doux parfum, le temps s'arrête, plus rien n'existe, une formidable eréction vient enfler le devant de son short. Un bruit de chasse d'eau vient le tirer de son sa rèverie érotique. Il panique, en désespoir de cause ne sachant se réfugier il se glisse entre deux placards et attends. Justine arrive la 1ère du haut de ses 14 ans elle a l'ascendant sur Sophie qui est pourtant son ainée d'un an, elle est vétue d'une culotte blanche qui monte presque jus'qu au nombril et d'une brassière, elle s'arrête intriguée, se retourne vers sohpie, plus petite, aussi brune que Justine est blonde, plus massive que sa copine, Justine lui fait à voix haute la remarque suivante : J'ai cru entendre du bruit. regarde ma jupe a disparue ! si c'est une blague celle qui me l'a faite va le regretter. Furieuse Justine aidéede Sophie comence une fouille en règle du vestiaire. Les deux filles interloquées se mettent en devoir de trouver le vètement manquant. Louis recroquevillé dans son coin vient seulement de réaliser que c'est lui qui tient le précieux vètement à la main. Il panique, risque la tête en dehord de sa cachette entends un cri, se retourne pour se retrouver face à Sophie qui hurle, elle est dans la même tenue que Justine puisqu'elle s'appêtait a comencer l'entrainement de gym. Louis est tétanisé, il reste figé comme une statue, l'objet du crime à la main. Justine accourt Merde le salaud ! c'est lui, elle se plante devant lui écartant Sophie au passage qui se retrouve ainsi derrière l'intrus. Alors petit salopard ! on me pique mes fringues et en plus on mate. Tu vas me payer ça petit con ! Sophie arrache la jupe desmains de Louis qui reste sans réaction, elle la dépose sur un banc tout proche et questionne Justine du regard, on en fait quoi du merdeux ? Justine sourie, bloque le ma chérie, Sophie attrape les bras de luis et lui bloque dans le dos, elle le maintient sans peine, en effet le garçon est fasciné par l'archange blond qui lui fait face, il ne peut s'empécher d'avoir une coupable érection. Justine s'en rends compte, cela ne fait q'augmenter sa fureur. Elle s'approche de lui s'agenouille devant lui, lui ôte sa ceinture et fait glisser son short le long de ses jambes, elle fait de même avec son slip, le sexe du malheureux jaillit justine se redressse, recule fière de son effet. Elle vas s'amuser un peu , LOUIS n'en peut plus son sexe se joue des lois de l'apesanteur et se dresse insolent vers le ciel. On va te rabattre le caquet petite merde de male vicieux lui murmure Sophie qui assure sa pprise et qui empèche ainsi toute tentative de fuite du garçon. Ce dernier que l'idée de fuir n'effleure même pas vit une extase sans nom. Nu en présence de deux nymphes Ses yeux s'égarent sur les deux petits seins comprimés dans cette jolie brassière de sport, ils descendent sur le ventre puis s'arrêtent sur la petite culotte, en détaille le moindre centimètre carré pour enfin s'arrêter sur la pointe du triangle, sur ce léger renflement qui semble concenter toutes les merveilles de ce monde, il remarque cet étroit sillon qui semble se dessiner derrière le tissu de coton Mon dieu murmure t il que c'est beau ! Sans aucune autre intervention que cette vision de paradis, son gland grossit et s'échappe de son prépuce protecteur s'offrant ainsi à la vue et au courroux de Justine Cette dernière déclare : Je vais ramener cette chose longue dure et visqueuse à plus d'humilité ces gracons sont d'un sans gène, Sophie glousse dis donc Justine tu crois que le plus approprié c'est le genoux ou le pied ? Justine sourie et repond pour commercer je préfère le genoux . Elles'approche son visage a quelques centimètres de celui de sa victime consentante. Elle se penche ses lèvres effleurent les siennent elle pousse un petit gémissement, pose ses mains sur les épaules du pauvre garçon pour prendre appui, elle sent remonter les effleuves de ce gland violacé à ses narines, ce dernier touche presque le ventre plat de Justine. Sophie ma chérie je peux y aller ? Mais faites donc ma chère............ ;